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Maria GIANNIKOU
"Miroir à l'infini"
du 15 au 30 juin 2023
vernissage le jeudi 15 juin à partir de 18h
"MIROIR A L'INFINI"
L’exposition «Miroir à l’infini» de Maria Giannikou relie des sujets de son précédant travail avec son expérience personnelle et son autobiographie: le sujet du voyageur comme rechercheur qui est apparu à son exposition «Flow» et le sujet du voyageur aux intérprétations imaginaires et rêveuses de ce qu’il a vécu à son enfance qui est apparu à l’exposition numérique «Imaginary Cities». Ces deux sujets sont en liaison à la recherche de l’artiste de sa propre histoire familiale, une histoire qui se dessine à travers la mémoire et la narration.
Les couleurs intenses, présentes dans l’œuvre précédant de Maria Giannikou, ici on les voit reculer sous la domination d’une palette plus brumeuse qui inclue les transitions surnaturelles de l’homme à travers la mémoire et la prise de conscience. Des foules nébuleuses se trouvent en attente pour passer à l’infini par des éscaliers en spirale, par des montgolfières et par de petits chevaux de manège. Les lignes diagonales, très fortes aux éscaliers, viennent casser l’aspect bidimensionnel de la composition et intensifier la profondeur du temps avec laquelle on négocie ses expériences directes et indirectes. Des plantes et des animaux réels et mythiques -des chiens, des chats, une autruche, une guêpe- participent à ce voyage mystique.
Pour l’artiste, ce voyage a pris une direction différente après notre rencontre fortuite et l’a faite passer du rôle de scénographe à celui du protagoniste. Les narrations du voyage de son grand-père à la Savane de Géorgie aux États-Unis à l’époque de Jim Crow un siècle auparavant, qui avaient capté son imagination d’enfant, prennent vie à travers la procédure de recherche des sources d’archives et apparaissent dans son oeuvre comme des références à des photographies et à des cartes historiques.
Les paysages urbains de ses tableaux quittent les grands immeubles européens pour s’installer à des bâtiments plus bas et de style classique, comme l’ Union Station du début du 20ème siècle et la Wage Earners Savings Bank dans le quartier afro-américain de la Savane. La montre et la boussole se répètent comme des caractéristiques éconographiques et se rapportent au sens d’orientation dans l’espace et le temps -ou à l’absence de ce sens- lors du voyage de l’individu. En même temps, elles incarnent ses peurs mais aussi ses rêves et ses espoirs pour l’ inconnu, au delà de sa zone de confort.
Dans la réalité de la ségrégation raciale systémique et de l’oppression de l’époque de Jim Crow qui a dominé le Sud américain, des plantes, des fleurs et des caractéristiques de physionomie humaine finissent en lignes courbes. Ils font penser à des racines qui résistent à tout changement et qui piègent l’homme dans l’état établi, tandis que lui même reste témoin de sa réalité, sans avoir la force de résister.
Le travail de Maria Giannikou par le biais de ce voyage surnaturel de construction et de reconstruction des souvenirs qui l’ ont marquée dans son enfance se transforme à un manifeste de surréalisme contemporain.
Myrsini Mamoli, Ph.D.
Historienne d'Architecture
Georgia Institute of Technology
Atlanta, Georgia, USA
Maria Giannikou est peintre et professeur de peinture à Lesbos. Elle est née à Mytilène et a étudié à l’Ecole des Beaux-Arts de l’Université Aristote de Thessalonique de 1993 à 1998 avec le professeur A. Theofylaktopoulos ; puis, en 1999, elle s'est spécialisée en gravure à l’Ecole des Beaux-Arts d’Athènes avec le professeur G. Milios. Elle a aussi assisté à des cours aux Écoles des Beaux Arts de Paris et de Londres. Elle a réalisé huit expositions individuelles en Grèce et participe régulièrement à des expositions collectives en Grèce et à l’étranger, ainsi qu'à des expositions et des événements internationaux comme : au Grand Palais à Paris- Art and Capital (2013), à Art Madrid World art vision (2014), et à l'exposition transbalkanique "Paths of Art" (2023). Une partie de ses œuvres se trouve dans les pinacothèques municipales de Hydra, de Syros, de Komotini et de Mykonos, ainsi que dans de nombreuses collections privées en Grèce et à l’étranger.
Petros MATZAKOS
"Visiteurs"
du 2 au 13 mai 2023
vernissage le 5 mai en présence de l'artiste à partir de 18h
« VISITEURS »
Des visages aimés, amicaux, familiers ou, tout simplement, connus traversent notre vie et lui apportent lumière et couleur en tant que « Visiteurs » de l’âme.
Ces visages sont représentés par le peintre Petros Matzakos à l’exposition « Visiteurs ». L’artiste expérimenté, dont la longue activité s’étale sur plus de vingt-cinq ans, avec nombreuses expositions en Grèce et à l’étranger, représente l’expression de chaque personnage par une « danse » de couleurs, en créant ainsi une explosion chromatique débordant de sentiments.
L’intensité des couleurs, transperçante et en même temps fascinante, fait naître à son public une sensation de chaleur et met en valeur l’aspiration créative de l’artiste.
L’expression des visages est donnée au moyen de lignes tendres ou plus profondes. Le regard est tantôt profond et penseur, tantôt insouciant et gai, inondé, néanmoins, sur le canevas de l’artiste de vivacité et droiture. Ce sont les éléments d’une créativité mûre, résultat d’un long travail artistique représentatif de l’évolution de la compétence de Petros Matzakos qui n’hésite pas à renouveler ses thématiques et à relever de nouveaux défis.
Jeunesse et maturité s’interchangent harmonieusement, à l’instar de l’harmonie dégagée par l’expression artistique du peintre. Des physionomies particulières, distinguées, dépeintes dans leurs détails avec une variété de couleurs, forment des synthèses de portraits reflétant ainsi une dynamique interne qui parvient à recomposer dans l’atelier les expériences vécues et l’échange d’interactions entre le peintre et ses « Visiteurs ».
Petros Matzakos ne se limite pas à la simple présentation descriptive de visages. Il accorde aux personnages de ses portraits de la profondeur, de la réflexion, du sentiment, de l’aspiration, de manière à communiquer à son public la dynamique de son art.
Ce qui est, donc, représenté sur les visages des « Visiteurs » c’est toute la gamme de la vie et ceci avec beaucoup de sensibilité et une expression artistique particulière par un peintre qui nous propose dans cette exposition une excellente expérience de haute esthétique.
Maria Chorianopoulou
Professeur de Lettres Classiques
MSc Gestion d’Entités Culturelles
Olga
Petros Matzakos est né à Naxos en 1960. Il a étudié la peinture à l'école des Beaux-Arts d'Athènes avec Dimitris Mytaras comme professeur , ainsi que la Pédagogie à l'Université d'Athènes. Il a effectué six expositions individuelles et il a participé à plus de soixante-dix expositions collectives. Ses œuvres font partie dans de collections en Grèce, en Belgique, en France, en Allemagne et aux États-Unis. Il vit et travaille à Athènes.
Expositions individuelles
2023 "Visiteurs", Galerie Desmos Paris
2017 "People cities" Genesis Gallery Athènes
2016 "Où que me porte mon voyage ...", THEOREMA Gallery, Bruxelles
2014 "Troupes de thèatre inconnues", Galerie Art Prisma, Le Pirée
2008 "motorships...", Salle d'Art "Ermoupolis", Syros
2006 "Bateaux en bois", Galerie de Ersi, Athènes
Participations internationales
2020 Art-Athina 2020, Athènes
2016 Art-Athina 2016, Palais des Sports de Palaio Faliro , Athènes
2011 Participation à l' événement Art en capital – Salon des Artistes Indépendants, Grand Palais, Paris
2002 "100 PORTRAITS" – événement organisé par l’Association Internationale de Arts Plastiques , Heidelberg, Allemagne
Konstantinos PAPARGIRIS
"Je recherche la petite main d'or"
du 22 au 28 avril 2023
vernissage le 22 avril et nocturne le 21 avril en présence de l'artiste
Kostantinos Papargiris compte quatre expositions à la galérie de Desmos dont la dernière, intitulée "Je recherche la petite main d'or", a eu lieu de 18 à 22 avril 2023. Il s'agit d'une exposition-référence au peintre parisien Robert Coutelas, en hommage à ce peintre peu connu en Grèce et à Paris, qui représente pour lui-même un maître secret qui par son œuvre l’a encouragé de continuer en le guidant, de la façon la plus « démocratique », à travers une parenté spirituelle, vers des voies et des choix libérés, dotés d’une plasticité incroyable. À la fin de cette exposition, qui constitue sa septième exposition à Paris, l’artiste a donné pendant une semaine, parmi d’autres artistes, des cours de dessin et de théorie sur les couleurs à l’Ecole Nationale Supérieure de Paysage de Versailles.
Konstantinos Papargiris à la galérie Desmos lors de son exposition "Je recherche la petite main d'or" en avril 2023.
Konstantinos Papargiris est né à Larissa en 1976. Il a reçu ses premières leçons de dessin aux côtés du sculpteur Christos Makropoulos. L’artiste a réalisé ses études de peinture à l’Ecole des Beaux-Arts de Florence (1997-2001), deux ans après une résidence artistique à l’Ecole des Beaux-Arts de Lecce, dans le nord de l’Italie. Il a suivi des séminaires de scénographie à l’atelier de Maria Chaniotaki. Il écrit des pièces théâtrales et réalise des peintures murales en espaces publics. Il a réalisé 19 expositions individuelles en Grèce et à l’étranger et il a également participé à des expositions collectives. Une partie de ses œuvres se trouve dans le Musée National d’Art Contemporaine à Thessalonique (MOMUS – Musée d’Art Contemporaine – Collection Kostakis) et à des collections privées.
Pour en découvrir plus sur l'artiste n'hésitez pas à visiter son site et ses réseaux sociaux :
Tableaux et instantanés du vernissage en présence de l'artiste le 18 avril 2023.
Maria GIANNIKOU
Maria Giannikou est née à Mytilène et a étudié à l’Ecole des Beaux-Arts de l’Université de Thessalonique de 1993 à 1998 avec le professeur A. Theofylaktopoulos ; puis, en 1999, elle se spécialise en gravure à l’Ecole des Beaux-Arts d’Athènes avec le professeur G. Milios. Elle a réalisé sept expositions individuelles à Athènes et à Mytilène, et a participé également à des expositions collectives en Grèce et à l’étranger, ainsi que lors d’événements internationaux : Grand Palais in Paris- Art and Capital (2013), Art Madrid World art vision (2014). Une partie de ses œuvres se trouve dans des galeries à Hydra, Komotini et Mykonos, ainsi que dans de nombreuses collections privées en Grèce et à l’étranger.
Musiciens de rue, Maria Giannikou
"Les derniers tableaux de Maria Giannikou, allient peinture abstraite et figurative. Comme avant, les fonds sont toujours unis, dépourvus de perspective, avec des fenêtres de lumière et de couleur qui émanent de cités imaginaires, à l’architecture dense, dans un esprit empreint de primitivisme et et d’entité sculpturale. Les corps humains ont, eux aussi, quelque chose de sculptural, lorsqu’ils apparaissent devant des alignements réguliers, formant des équilibres où alternent les dispositions émotionnelles. Des figures expressives, aux couleurs vives, comme dans tous ses tableaux, révèlent une vigueur, une tension, une présence tenace, entre mythe et quotidien, théâtralité et réalisme.
Les figures de Maria Giannikou ont quelque chose d’allégorique, de même que ses édifices. Ils occupent l’espace en une disposition frontale, parsemée de taches colorées, chargée de teintes chaudes et intenses.
L’organisation de l’espace demeure délibérément en deux dimensions, tandis que se créent des marques elliptiques et des tensions autour du thème des groupes humains et de la cité. L’alliance de ces deux éléments exclue la profondeur, comme si elle n’était pas accessible, et se concentre à la surface, limitée par ces deux dimensions, tel un espace emblématique.
On y devine une tendance autobiographique, des dispositions poétiques, mais non oniriques, comme des symphonies inquiètes et tourmentées par des accords menaçants qui invitent au rassemblement de groupes de combattants prêts à l’action. Il s’agit là d’une adaptation expressionniste d’images aux racines européennes et médiévales".
Emmy Varouxaki, historienne de l’art
Tableaux récents
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mariagiannikou7.wix.com/mariagiannikou
facebook.com/MariaGiannikouPainter2009
Katerina BOURATZI
"Figures et mémoires"
du 29 février au 14 mars 2020
vernissage le samedi 29 février 2020
Katerina Bouratzi: élaborations et empreintes
Les temps difficiles que nous vivons n’ont pas laissés imperturbables, cela va de soi, la plupart des artistes contemporains qui, au travers du style qui leur est propre, du moyen d’expression plastique qu’ils choisissent, formulent – de façon directe ou indirecte – de nombreux points de vue et aspects de la réalité qui nous entoure, mais aussi les divers moyens dont use l’inconscient pour les percevoir, en traduisant les flux du quotidien crucial et hermétique que nous vivons.
Katerina Bouratzi détient, dans son expression picturale, un mélange de réalisme et d’abstraction où l’un des paramètres nourrit l’autre sous l’angle de l’esthétique et sous celui du sens. Sa peinture cependant évolue à un niveau allégorique et symbolique. Et dans ce contexte, son motif récurrent demeure la silhouette féminine que l’artiste présente de façon elliptique, afin d’exprimer sa présence et en même temps son absence, son identité mais aussi ses désorientations, les interrogations qui la caractérisent ainsi que le mystère qui régit la nature de son existence même, en un lieu, un temps, un cadre et des circonstances données, et où elle apparaît et disparaît.
Par ailleurs, ce motif féminin renvoie à un autre « soi-même » tel qu’il s’esquisse à travers les traces laissées par les aléas de la vie et les échanges avec l’autre. Sensualité et brutalité, provocation et déception ruinent tout espoir. Les changements sont violents tandis que l’élément fugace est partout présent, diffus, soulignant d’autant mieux l’éphémère et l’inéluctable.
Cette peinture du geste qui fonctionne telle une écriture automatique, transforme, et de façon allégorique suggère un quotidien mystérieusement séduisant, et pour l’essentiel, tragique. Un quotidien conflictuel, partagé entre tous ses aspects qui sans cesse réapparaissent au gré des conjonctures. Affirmations et paradoxes, renversements et résistances, profits et pertes, les provocations et les dilemmes de ce monde renferment tout cela, quand les instants nostalgiques et malgré tout dramatiques naissent et s’éteignent au creux des petites et des grandes histoires de la vie. Ces particularités qualitatives se tracent de façon psychodynamique et par un effet de transsubstantiation sur les silhouettes féminines vraisemblables et oniriques, de Katerina Bouratzi, pleines d’énigme et de silence, d’atmosphère et de mystère.
On croirait qu’elles renferment le monde sensible et spirituel de l’existence, anxieuse et en danger face aux valeurs du passé et à celles, impondérables, du présent.
Athina Schina, Historienne de l’art et de la Théorie de la Civilisation
Spyros LYTRAS
"L'enchantement de la mémoire"
du 18 mai au 7 juin 2019
et du 5 au 15 octobre 2019
Spyros Lytras est né à Itéa en Phocide. Il a étudié la peinture à l’École supérieure des Beaux-Arts de Thessalonique, où il a brillamment obtenu son diplôme en 1999. Il a suivi des cours de gravure et de photographie. Il est membre de la Chambre des Arts Plastiques de Grèce. Il s’est distingué dans des concours nationaux. Il a réalisé neuf expositions personnelles, a participé à de très nombreuses expositions de groupe et ses œuvres ont figuré dans des salles de vente en Grèce et à l’étranger. On trouve ses œuvres à la Pinacothèque d’Athènes, dans les mairies de Thessalonique, Mykonos, Syros et Hydra, à l’aéroport national d’Athènes, ainsi que dans des collections privées en Grèce et à l’étranger. Il vit et travaille à Athènes.
« … De 2000 jusqu’à aujourd’hui, Lytras articule son point de vue pictural dans un esprit poétique et méditatif, qui dépasse la simple description, la narration, l’illustration afin d’atteindre sa propre vérité. Sans répit, il approche l’utile et l’indispensable, de découverte en découverte, tantôt vécue tantôt ressentie. La figure féminine est la muse de ses recherches transformationnelles et c’est elle que nous rencontrons dans nombre de ses tableaux, tel l’impressionnant triptyque intitulé Bonne Route (2017), ou les fameux Tango (2015-2017) aux scènes tendres qui procurent comme un sentiment d’euphorie. Ils sont animés aussi par le commun secret de l’entente des cœurs, de la passion, de l’amour ou du désespoir. Ainsi, l’amour de deux êtres et le mystérieux murmure de la mer deviennent instruments de confrontation avec le dessin et la couleur, avec l’aventure de la forme. L’art d’ailleurs, dans une large mesure, affine la sensibilité de tous. Sa peinture naît de la mémoire et de l’oubli, de la nostalgie et de la prescience. Son but était et demeure la découverte de la beauté et de la valeur substantielle de la vie.
L’amour et la mort, le jeu entre désirs mortels et immortels, définissent le monde de ses transformations visionnaires. Il peint toujours avec des gestes rapides et contrôlés, dans un esprit expressionniste, ainsi qu’il le souligne lui-même, sans franchir les limites de la réalité visuelle afin d’approcher l’irrationnel et les déformations violentes. Sa peinture suit un parcours cyclique en un dialogue sans fin entre hier et aujourd’hui. Tendre et disposé à la confidence, il exprime avec son pinceau les expériences et les sensations de sa vie. Inlassablement, il travaille le fusain et les couleurs acryliques, donnant la priorité à la vivacité du dessin et par conséquent à l’intensité sensitive que procure le fusain. Ce n’est pas un hasard si ses premières expositions personnelles se distinguaient par une série de dessins impressionnants, où l’accent était mis sur la narration expressive et les situations inopinées.
Lytras pense en images et ses souvenirs appellent le passé, laissant la trace et l’expression de ses visions, consciemment indifférent aux situations extrêmes ou aux évènements socio-politiques déplaisants. C’est un peintre profondément humaniste, un récepteur sensible de l’amour et des images des hommes. Ce qu’il désire, c’est la vérité de sa vie sentimentale, sa peinture, à son rythme et à sa mesure. Passion souveraine et douceur, dynamique du trait, élan du mouvement, imagination et recomposition de la réalité marquent son témoignage figuratif. Ainsi, ses œuvres reflètent ses anxieuses recherches picturales, avec comme une saveur de perception sensuelle du monde et un point de vue combattif selon lequel nous ne sommes pas absents du temps et de l’Amour envers nos semblables."
Takis Mavrotas, historien de l'art (texte traduit par Isabelle Tloupas)
Katerina KOSTOYANNOU
"La Grèce à travers un kaléidoscope"
du 20 au 28 septembre 2019
Instantanés de l'exposition